En France, l’installation des compteurs communicants Linky (environ 18 000 poses chaque jour) se poursuit. D’ici 2021, le boitier jaune fluo devrait pouvoir être déployé dans 35 millions de foyers français. Certaines communes (une minorité, moins de 300 sur 36 000 communes) s’opposent toujours à l’installation du nouveau boitier. En cause, selon eux, des risques que ce dernier fait courir pour la santé. Pourtant, plusieurs études scientifiques démentent tout risque pour la santé. Cette nouvelle génération de compteur n’est pourtant pas une première mondiale. Au Canada, une telle technologie existe depuis 4 ans… et personne ne s’en plaint.
Quand les candidats à la présidentielle s’emparent du sujet Linky
Le 22 mars dernier, Philippe Poutou, alors candidat pour le NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste) à la présidentielle de 2017, a apporté son soutien à un rassemblement anti-Linky devant la maison de la Radio, à Paris. Il pointait du doigt le « danger » quant au « contrôle sur la vie privée » exercé, selon lui, par le compteur Linky. Même s’il l’avoue lui-même, il n’y « connai(t) pas grand chose »… Le leader du NPA rejoint Nathalie Arthaud, Philippe Dupont-Aignan et Jean-Luc Mélenchon, tous opposés à l’installation du compteur communicant dans l’Hexagone. Parmi les principaux motifs de mécontentement, les anti-Linky s’élèvent contre d’éventuels risques pour la santé du fait, notamment, du recours au courant porteur de ligne (CPL). Selon eux, cette technologie, qui sert à transmettre les données entre le compteur et le transformateur de quartier, fonctionnerait à une fréquence de 75 kHz. Celle-ci, selon l’association Robin des Toits (association nationale pour la sécurité sanitaire dans les technologies sans fil), ferait « rayonner tout le réseau » en permanence. Au contraire, pour Philippe Murer, conseiller environnement de Marine Le Pen, « Linky est utile pour étaler la consommation, lutter contre le gaspillage électrique. Il faut peser la balance avantage-inconvénient en étant honnête vis-à-vis du public. »
Mais les craintes quant à une éventuelle nocivité des émissions d’ondes électromagnétiques ont été écartées par de récentes études scientifiques, en France et à l’étranger.
Aucun risque pour la santé, selon l’ANFR et l’ANSES
En 2016, l’Agence nationale des fréquences (ANFR) a mené deux expérimentations en laboratoire et en conditions réelles, qui ont conclu à l’innocuité des nouveaux compteurs. Dans chaque cas de figure, l’exposition aux ondes était « très en dessous des valeurs réglementaires », et même entre 100 et 600 fois sous la limite autorisée, stipule le rapport. Même constat du côté de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (ANSES), qui a confirmé, en décembre dernier, que « les compteurs Linky sont à l’origine d’une exposition comparable à celle d’autres équipements électriques déjà utilisés dans nos maisons depuis de nombreuses années, comme la télévision, le chargeur d’ordinateur portable ou la table à cuisson à induction », d’après Olivier Merckel, responsable de l’unité d’évaluation des risques physiques à l’ANSES. Le rapport conclut que « les données disponibles à ce jour amènent l’Agence à conclure à une faible probabilité que l’exposition aux champs électromagnétiques émis par les compteurs communicants radioélectriques (gaz et eau) et les autres (électricité), dans la configuration de déploiement actuelle, engendre des effets sanitaires à court ou long terme », dédouanant ainsi le futur compteur à gaz Gazpar, lui aussi sous le feu des critiques.
Des expériences concluantes à l’étranger
À l’étranger, la pose des nouveaux boitiers s’est déroulée beaucoup plus sereinement. Les atouts de ce compteur nouvelle génération en termes d’économie d’énergie et d’argent, grâce notamment aux relevés à distance et au suivi en temps réel de la consommation, semblent avoir séduit, depuis, les ménages. Au Canada, le fournisseur d’électricité Hydro-Québec a déjà installé plus de 3,8 millions d’appareils depuis 2013, soit 97 % du nombre total prévu. Là aussi, les études scientifiques ont démontré l’absence de risque pour la santé. Selon un avis de santé publique québécois, publié en mars 2012, les nouveaux compteurs intelligents sont sans danger : « À la lumière des connaissances scientifiques actuelles concernant les radiofréquences (RF) et la santé, et en tenant compte des niveaux d’exposition extrêmement faibles de RF provenant des compteurs de nouvelle génération d’Hydro-Québec, le ministère de la Santé et des Services sociaux, en collaboration avec les directeurs de santé publique des Agences de la santé et des services sociaux, tient à informer la population que les RF émises par ces appareils ne posent pas de risques pour la santé. » Selon le physicien Jérôme Poulin, le compteur intelligent canadien « n’émet aucune radio fréquence ».
En Europe, plusieurs autres pays ont également déjà adopté ces nouveaux compteur. En Suède, 99 % de la population en est équipée ; tandis qu’en Grande-Bretagne, ils sont déployés depuis 2011 dans les habitations. Mais alors pourquoi Linky peine-t-il à convaincre en France ?
La généralisation du compteur Linky a été inscrite dans la loi de transition énergétique votée par les députés en 2015. Selon Camille Loth, directeur marketing de m2ocity, opérateur de télécommunications spécialisé pour le « Machine To Machine » (M2M), la loi sur la transition énergétique « fixe un objectif chiffré de réduction de la consommation d’énergie (en 2050, 50% de la consommation relevé en 2012) ». Selon ce responsable, qui opère déjà aujourd’hui plus de 1,5 millions d’objets connectés (notamment des compteurs d’eau), un des moyens de parvenir à la réduction de la consommation d’énergie est de « mieux comprendre nos consommations ».
Un argumentaire difficilement audible dans le contexte électoral actuel, où certains candidats préfèrent suivre un argumentaire électoral plutôt que scientifique.
L’expérience des compteurs communicants au Canada n’est pas réussie du tout. Des tas de gens sont devenus électrosensibles ou on eu des symptômes divers (accouphènes, nervosité et ont dû prendre des mesures coûteuses d’atténuation. des incendies ont été causés par ces compteurs. La consommation électrique est surévalué dans plusieurs cas. Ces compteurs c’est la plaie du 21 unième siècle
Ce qui se passe avec les compteurs est que l’arnaque est simple. Le gouvernement s’appuie sur les dire de Santé Canada secondé par la Régie de l’énergie qui sont tous les deux payés par les gouvernements. Les vices cachés des compteurs ne seront jamais mis au grand jour par ces institutions puisqu’ils seraient automatiquement refusés par les consommateurs. Pour ce qui est d’Hydro Québec, ils avaient utilisé la couleur “Vert” avec des lignes bien droites qui partaient d’un compteur et prenaient le chemin pour ensuite se rendre à l’autre compteur. Ce qui est totalement faux. Le rayonnement transperce même le béton et les structures les plus épaisses et solides. La manière de trafiquer les chiffres pour nous faire croire que c’est inoffensif était aussi mis en évidence sur le pamphlet explicatif. Tous les mensonges sur le relai des données. C’est à dire que la compagnie qui a installé les technologies ont dit à chaque client que les données seraient transmises que quelque fois dans la journée en omettant de dire que ça se déclenche à moins de toutes les 20 secondes à plusieurs fois dans une minutes et ce, à toutes les heures, à tous les jours, 7 jours sur 7 parce qu’il se remet à zéro et comme c’est un réseau maillé, il prend les données des autres clients pour les relayer. D’ailleurs, les technologies sans fil sont dangereuses mais personne ne veut l’admettre puisque le monde vit au crochet de cette mode et l’économie tomberait d’un seul coup. Pour Finir : Au Québec, nous avons deux choix : le communicant et le non communicant. Le non communicant n’est PAS SUPPOSÉ émettre d’ondes. De plus en plus de clients se rendent compte que le compteur intelligent (communicant) leur cause des problèmes de santé, de sommeil etc… et font la demande pour le faire retirer et faire installer un NON communicant puisqu’Hydro Québec ne veut plus et a détruit les anciens compteurs électromécanique. Donc, soyez assurés que si personne ne semble s’offusquer au Canada, y’a des gens qui se battent pour faire renverser la décision que les gouvernements ont prise d’installer ce genre d’appareil de mesurage. La majorité des gens sont juste trop rendus léthargiques et se sont laissés berner et/ou sont écoeurés et sont mal renseignés ou pas renseignés du tout. Et ne croyez pas tout ce que les médias véhiculent surtout quand ils vont chercher des hurluberlus pour appuyer des faussetés. Des organismes comme le RAPLIQ et CQLPE et C4ST travaillent pour dénoncer ces technologies au Canada.
Je suis résidant du Québec et dans l’article vous dite que “personne” ne ses plein ses completement faux car on a revendiquées énormément meme encore aujourd’hui il y a des groupes qui lutte ejcore pour ce type de compteur qui émets des onde (fréquences) assez régulièrement comparer au ancien qui était inoffensif.Ceux la a long terme seront nocif surtout pour les gens electrosensible.Et je suis sur que si on faiserait un sondage au Québec qui sont pour ou contre le contre a des grande chance de l’emporter.Merci de m’avoir lue et bonne journée a vous!
C’est du grand n’importe quoi! Cet article est un ÉNORME tissu de mensonges du début à la fin. La résistance aux compteurs électropolluants d’Hydro-Québec a été très forte. Selon un sondage – voir les résultats détaillés à http://jegardemoncompteur.com/communique1.html – la moitié des Québécois n’en voulaient pas. Les compteurs dits “communicants” d’Hydro-Québec émettent entre 1400 et 2800 fois par jour et certains peuvent émettre jusqu’à 2 fois par seconde. Des milliers de Québécois sont devenus électrosensibles à cause de ces dangereux appareils – voir les témoignages à http://jegardemoncompteur.com/problemesante.html – et plusieurs compteurs ont pris feu – voir http://www.cqlpe.ca/Bulletins/BulletinSpecialFeu.htm. Le gouvernement du Québec qui encaisse entre $2 et 3 milliards par année à même les profits d’Hydro-Québec est en total conflit d’intérêts et les assurances d’innocuité donnés par le ministère de la Santé sont fondées sur du vent et ne visaient qu’à désinformer la population et à protéger les profits d’Hydro-Québec. Avant de raconter de telles âneries, donnez-vous donc la peine de vous renseigner à de bonnes sources comme à http://cqlpe.ca. Le système de Linky est tout aussi dangereux pour la santé car, même s’il n’émet pas de micro-ondes, il crée de l’électricité sale qui, à moins que les fils électriques de la maison soit blindés, irradie dans toute la demeure. Et c’est sans compter les relais dans tous les poteaux du voisinage qui eux émettent des micro-ondes et accroissent la charge électropolluante de l’électrosmog ambiant. Pour tout savoir sur l’horreur du Linky allez voir http://next-up.org.