En 2010, un tremblement de terre a touché Haïti. L'ONU a envoyé des soldats pour stabiliser le pays. Selon une étude de l'Université de Yale, les soldats népalais envoyés à ce moment-là à Haïti seraient à l'origine de l'épidémie de choléra qui a suivi.
Après avoir été touchée par un tremblement de terre en 2010, Haïti a perdu 8 000 Haïtiens touchés par le choléra durant les trois années qui ont suivi. L'université de Yale explique que l'épidémie de choléra aurait pour origine les soldats népalais envoyés par l'ONU. En effet, ils y ont été envoyé pour aider à stabiliser le pays.
A la recherche de la source de l'épidémie du choléra
L'épidémie a sévi depuis trois ans à Haïti. D'après l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), le choléra a fait plus de victimes pendant les deux premiers mois, le temps que la prévention et autres soient mis en place. Le nombre de décès à cette période est de 3 000 personnes. Et en tout, 7 550 personnes en seraient mortes sur les 685 000 infectées pendant ces trois ans.
L'origine de l'épidémie du choléra vient de casques bleus d'origine népalaise. En effet, l'ONU est intervenue pour maintenir la stabilité dans le pays. Cependant ces soldats étaient porteurs de la bactérie. Elle se serait propagée via la fosse septique qui aurait été mal nettoyé par un sous-traitant local. Les eaux usées auraient été déversée dans la rivière par inadvertance. Il aurait ensuite contaminé l'Arbibonite, un affluent du plus grand fleuve haïtien où vont s'approvisionner les Haïtiens.
L'ONU pas convaincue par l'étude de l'université de Yale
Haïti n'avait pas été touchée par le choléra depuis plus d'un siècle. Les preuves scientifiques ne sont pas assez solides pour accuser ouvertement les casques bleus népalais selon l'ONU. Toute personne portant la souche de la maladie peut l'avoir transmise, donc il est injustifié de dire que l'épidémie viendrait du camp des casques bleus de la Minustah ou de Mirebalais.
L'université de Yale reste donc prudente sur son bilan, elle avant également le fait qu'il puisse s'agir d'une souche d'Asie du Sud. L'ONU a fait appel à ses experts. Pour eux, il s'agit d'un concours de circonstances. Ils admettent cependant que les personnes provenant de régions à risque « devraient être examinées et traitées aux antibiotiques avant de partir » lorsqu'elles travaillent pour l'ONU ou pour toutes autres organisations surtout dans l'humanitaire.
par inadvertance, par hasard, rndésolé mais je n”y crois pas du tout.rnse demander toujours à qui le crime profite